Dans le cadre de « Picasso-Méditerranée 2017-2019» manifestation culturelle internationale, la Ville de Canet présente l’exposition Picasso à la mer.
A travers estampes, photographies, vidéo et autres documents (Man Ray, Paul Eluard, Pierre Reverdy…), l’exposition présentera un Pablo Picasso jovial et cabotin.
Tout au long de sa vie, des années 20 jusqu’à la fin des années 60, il se met en scène sur la plage avec famille et amis, invitant photographes et autres personnes à immortaliser ces moments de bonheur.
On retrouve cette même liberté dans ses œuvres avec de nombreux personnages (baigneuses, couples et enfants, acrobates et lutteurs…), avec pour toile de fond : la mer.
Javiera Tejerina exposait son œuvre vidéo va-et-vient inspirée d’une peinture de son père.
Ville de Canet-en-Roussilon
Juin 2017
Le festival de la Imagen a eu lieu dans le cadre de l’année France-Colombie 2017. Le festival de Manizales a été le siège de l’ISEA, Symposium International des Arts Numériques, assurant une visibilité internationale à la scène numérique française mise à l’honneur pour cette édition. Un volet « transmedia » était également prévu et sera mis en place par la Transmedia Immersive University, qui invitera à son tour la Colombie à la Gaîté Lyrique en octobre 2017. Vanishing Walks a présneté plusieurs représentations lors du festival.
Vanishing Walks apparaît également dans le programme du MA scène internationale de Montbéliard où il y aura une résidence.
Editions et auteurs :
Les deux catalogues ont été édités par les organismes respectifs et sonr des ouvragres collectifs
Date de parution:
Printemps 2017
L’exposition triptyque Victor Vasarely (1906-1997), MultipliCité, révèle le parcours de Vasarely à travers le XXe siècle, de la Hongrie de son enfance et de sa formation à la Provence, sa terre d’élection pour ses grands projets de diffusion sociale de l’art. Elle propose un cheminement inédit à travers ses recherches de plasticien et de théoricien visionnaire dans l’Europe politique et artistique du XXe siècle.
Aujourd’hui, l’oeuvre de Vasarely, plasticien utopiste et visionnaire, rayonne mondialement. Elle préfigure l’art numérique et l’art urbain en plein essor, qui font échos à ses programmations complexes, à sa volonté d’intégrer l’art à tous les domaines de la vie et à son rêve de cité polychrome du bonheur.
Fluxo exposait son installation Formes et dissonances dans le parcours de l’exposition situé à la Fondation Vasarely.
Fage
ouvrage collectif
2016
Cet ouvrage prend pour point de départ notre projet Discrépances Aubagne initié par Diego Ortiz et Javiera Tejerina, fondateurs de Flux(o). C’est une expérience de réalité augmentée pour dispositif mobile, mêlant cinéma (aussi bien dans les techniques de tournage et de post-production que dans le souvenir de l’œuvre de Marcel Pagnol), arts numériques (avec des artistes intervenant dans l’espace public) et mobilité (le dispositif étant lié à des chemins de randonnée dans la montagne). L’axe Transmédia et intermédialité du laboratoire ASTRAM de l’université Aix-Marseille, partenaire du projet Discrépances Aubagne, questionne justement ces frontières poreuses entre le cinéma, dans sa dimension narrative et esthétique, et les arts numériques, telle qu’elles sont générées par ce type de production. Le laboratoire a donc souhaité dresser une cartographie des projets, technologies et dispositifs, qui jouent eux aussi de cette porosité. Ces œuvres nouvelles sont abordées par le biais de différentes disciplines, allant de la sociologie à l’esthétique en passant par la narratologie.
Presses Universitaires de Provence
2016 trimestre 3
Le mythe de Marseille s’avère une construction du modernisme : c’est avec la révolution industrielle, les flux migratoires, l’empreinte coloniale et la violence des inégalités que s’est construit l’imaginaire si singulier de « la cité phocéenne ». Seule ville mythique de France avec Paris, Marseille, dans sa misère et sa gloire, continue à nourrir une mythologie populaire, anarchique et sujette à de nombreuses manipulations médiatiques. Les études historiques, littéraires et artistiques rassemblées dans cet ouvrage, illustrées par des documents iconographiques, se présentent comme des contributions à une histoire culturelle de Marseille. Elles sont complétées par des témoignages historiques et artistiques et par des échanges sur les développements actuels du mythe, héritiers d’un modernisme inachevé, illustrant ainsi l’enchevêtrement du passé et du présent propre à la culture – et à la politique culturelle ? – de Marseille.
Un chapitre est consacré l’ l’installation de Diego Ortiz et Javiera Tejerina du Bauhaus lab inspirée du mouvement artistique éponyme et ses liaisons avec la ville de Marseille.
Presses Universitaires de Provence
2013 trimestre 4